15 ans qu'on n'avait rien à se mettre sous l'oreille : depuis 1994, le Jamaïcain Willi Williams restait désespérément trop discret. L'auteur du splendide album "Messenger Man", enregistré en 1978, a retrouvé le chemin des studios depuis Toronto où il réside.
"Di Real Rock" (clin d'œil au riddim de Studio One qui l'a consacré), mêle productions modernes et moins jeunes, enregistrées avec le backing band canadien The Drum Street Crew, et notamment le clavier jamaïcain Bobby Kalphat, un acolyte de longue date.
Ce qu'on a pu entendre de ce nouvel opus reste dans la droite lignée de ses albums précédents : des rythmiques roots dominées par le couple basse/batterie, et survolées par son chant aérien. Malheuresement, ce nouvel effort de l'auteur des hits Armagideon Time et Give Jah Praise n'est pas encore distribué en France.
Par ailleurs, Willi Williams a été récompensé pour l'ensemble de sa carrière le 14 juin dernier à l'occasion de la troisième édition des Reggae Music Achievement Awards au Canada
POUR CEUX QUI NE LE CONNAISSENT PAS ===>
"Di Real Rock" (clin d'œil au riddim de Studio One qui l'a consacré), mêle productions modernes et moins jeunes, enregistrées avec le backing band canadien The Drum Street Crew, et notamment le clavier jamaïcain Bobby Kalphat, un acolyte de longue date.
Ce qu'on a pu entendre de ce nouvel opus reste dans la droite lignée de ses albums précédents : des rythmiques roots dominées par le couple basse/batterie, et survolées par son chant aérien. Malheuresement, ce nouvel effort de l'auteur des hits Armagideon Time et Give Jah Praise n'est pas encore distribué en France.
Par ailleurs, Willi Williams a été récompensé pour l'ensemble de sa carrière le 14 juin dernier à l'occasion de la troisième édition des Reggae Music Achievement Awards au Canada
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